| 2017 | • Adaptation / mise en scène de La Passion de Félicité Barette d’après Trois Contes de Gustave Flaubert, CDN Besançon Franche-Comté. • Scénographie d’Un Amour impossible de Christine Angot mise en scène Célie Pauthe, Odéon-Théâtre de l’Europe. |
| 2015 | • Textes / mise en scène / scénographie de Histoires à la noix, spectacle jeune public, Centre dramatique national de Haute-Normandie (Rouen) |
| 2014 | • Adaptation / mise en scène / scénographie de Ainsi se laissa-t-il vivre d’après Robert Walser, Théâtre national de Strasbourg |
| 2013 | • Mise en scène / scénographie de Torquato Tasso de Johann Wolfgang von Goethe, Théâtre des Amandiers (Nanterre) • Scénographie de Yukonstyle de Sarah Berthiaume mis en scène par Célie Pauthe, Théâtre de la Colline |
| 2011 | • Scénographie de Long voyage du jour à la nuit d’Eugene O’Neill mis en scène par Célie Pauthe, Théâtre de la Colline |
| 2010 | • Adaptation / mise en scène / scénographie de Prométhée selon Eschyle, Théâtre Garonne (Toulouse) |
| 2009 | • Mise en scène de Vie de Joseph Roulin de Pierre Michon, Le Grand T (Nantes) |
| 2007 | • Mise en scène de Massacre à Paris de Christopher Marlowe, Les Gémeaux (Sceaux) • Co-mise en scène avec Simon Delétang du spectacle Ou le monde me tue ou je tue le monde !, spectacle de sortie d’élèves, ENSATT (Lyon) |
| 2006 | • Mise en scène d’Iphigénie, suite et fin, d’après Iphigénie chez les Taures d’Euripide et Le Retour d’Iphigénie de Yannis Ritsos, Les Gémeaux (Sceaux) |
| 2005 | • Mise en lecture de Premier Amour de Samuel Beckett, Espace des Arts (Chalon-sur-Saône) |
| 2004 | • Scénographie d’Antigone de Sophocle mis en scène par Jacques Nichet, Odéon-Théâtre de l’Europe |
| 2003 | • Mise en scène de La vie est un songe de Pedro Calderón de la Barca, Théâtre des Amandiers (Nanterre) |
| 2002 | • Mise en scène de Philoctète de Sophocle, Théâtre national de Toulouse |
| 2001 | • Assistanat à la mise en scène de Combat de nègre et de chiens de Bernard-Marie Koltès mis en scène par Jacques Nichet, Théâtre de la Ville • Scénographie de Mesure pour mesure de William Shakespeare mis en scène par Jacques Nichet, Les Gémeaux (Sceaux) |
| 2000 | • Adaptation / mise en scène de Peer Gynt / Affabulations d’après Henrik Ibsen, Théâtre national de Strasbourg • Assistanat à la mise en scène de Prométhée enchaîné d’Eschyle, mis en scène par Matthias Langhoff, Ouagadougou (Burkina Faso) dans le cadre de l’Institut nomade de la mise en scène • Scénographie de Pont de pierre et peau d’images de Daniel Danis mis en scène par Jacques Nichet, Théâtre de la Commune (Aubervilliers) |
| 1999 | • Création de la Compagnie X ici, avec d’anciens élèves de l’Ecole du TNS |
| 1996 à 1999 | • Ecole du Théâtre national de Strasbourg – section scénographie (Groupe 31) |
Guillaume Delaveau est né en 1972.
Il suit une formation de plasticien à Paris, et, après deux années intensives de théâtre amateur à Saint-Etienne, il intègre, en 1996, l’Ecole du Théâtre national de Strasbourg – section scénographie.
Durant sa formation, il travaille notamment avec Luca Ronconi sur Ce soir on improvise de Luigi Pirandello. Cette collaboration bouleverse son rapport au théâtre, et le décide à devenir metteur en scène. Jean-Louis Martinelli – directeur du TNS – lui propose alors, parallèlement à sa formation, l’assistanat à la mise en scène sur Œdipe le tyran de Sophocle, créé dans la Cour d’honneur du Festival d’Avignon et sur Deuil sied à Électre d’Eugene O’Neill créé l’année suivante dans le cadre du Festival de l’Union des Théâtres de l’Europe.
A sa sortie de l’Ecole en 1999, il intègre l’Institut nomade de la mise en scène et assiste Matthias Langhoff au Burkina Faso sur Prométhée enchaîné d’Eschyle. A son retour d’Afrique, il fonde la Compagnie X ici avec d’anciens élèves du TNS (comédiens, régisseurs et scénographe). Il crée Peer Gynt / Affabulations d’après l’œuvre d’Henrik Ibsen et ouvre ainsi un travail en compagnie indépendante.
De 2002 à 2006, il va s’attacher à mettre en scène des destins tragiques tels que celui de Philoctète, Sigismond, Iphigénie ou Oreste. En 2007, voulant aborder le fanatisme religieux, il s’empare de l’œuvre de Christopher Marlowe Massacre à Paris, et s’affronte pour la première fois au théâtre élisabéthain. A partir de 2008, il ouvre un long cycle sur la figure de l’artiste ; avec Van Gogh, Prométhée, Torquato Tasso et Robert Walser, il questionne les processus de création, la place de l’artiste au sein de la société autant que l’intransigeance de l’art. En 2015, il met en scène son premier spectacle dédié au jeune public Histoires à la noix. Ce projet modifie son rapport au travail, et lui ouvre de nouvelles perspectives de recherche.